J’ai vu de grosses larmes inonder vos joues rougies
J’ai senti vos mains chaudes déposer toutes ces bougies
De grosses larmes, des mains chaudes, toutes ces bougies pour un mari
Qui de son vivant a fait d’un grand enfer votre vie.
Vous l’aimiez tellement que vous l’avez laissé faire
Persuadée sûrement que c’était bien pire en enfer
Tout ce temps vous vous êtes dit que c’était pour son bonheur
Même si tout cela devait passer par votre malheur.
Son bonheur, votre malheur c’était le deal de tous les jours
Un deal qui vous faisait peur mais accepté par votre amour
L’amour qui dicte votre façon de vivre c’est le pire
Il y a certaines limites qui sont bonnes à établir.
Il est parti le premier, ça aurait pu être le contraire
Si lui avait encore vécu et vous décidé de vous taire
Attachée vous subiriez tout ce qu’il vous aurait infligé
Mais détachée vous tairiez tout ce qui ce serait passé.
Par amour, votre égo ne vous appartiendrait même plus
Et vous ne lui seriez plus que c’qu’est à la voiture la rue
Comme d’hab il vous roulerait dessus, moralement, physiquement
Et votre amour guérirait tous les bobos de ce traitement.
La première fois qu’il vous a prise, tirée et de coups rouée
Vous étiez choquée mais convaincue que tout cela serait passager
Dans la maison vous êtes restée, à aucun regard exposée
Tandis que lui était parti sans prendre le temps de vous rassurer.
Il est rentré comme si de rien était et vous a dit bonsoir
Alors que vous essayiez de vous confondre dans le noir
Ce qui devait être passager est vite devenu journalier
Car pour calmer ses nerfs quotidiennement sur vous il prenait son pied.
D’autres eurent moins de chances que vous, leurs coups furent plus meurtriers
Conséquences d’un amour fou qui leur doit d’être enterrées
Mais elles au moins n’auront pas tous les jours à regarder
Toutes les marques restées qui appartiennent à leur passé.
Contrairement à elles votre vie n’est pas encore finie
L’enfer qu’était votre vie ressemblera-t-il au paradis ?
C’est la question que vous vous posez après l’avoir pleuré par amour
Un amour qui vous marquera jusqu’à la fin de vos jours.
J’aurais voulu voir de petites larmes coulées sur vos joues rougies
J’aurais voulu sentir vos mains froides déposer qu’une seule bougie
De petites larmes, des mains froides, une seule bougie pour un mari
Qui de son vivant a fait d’un grand enfer votre vie.
Mais vous l’aimiez tellement que vous l’avez laissé faire
Persuadée sûrement que c’était bien pire en enfer
Et tout ce temps vous n’avez pas pensé qu’il vous avait abusée
Et que pour cela il avait usé d’un amour meurtrier.
Maintenant qu’vous le savez, les autres vous avertirez
Car personne ne sait si elles auront la chance de s’en tirer
Si elles verront avant elles leur mari s’en aller
Car amour fou, incontrôlable peut vite devenir meurtrier...
J’ai senti vos mains chaudes déposer toutes ces bougies
De grosses larmes, des mains chaudes, toutes ces bougies pour un mari
Qui de son vivant a fait d’un grand enfer votre vie.
Vous l’aimiez tellement que vous l’avez laissé faire
Persuadée sûrement que c’était bien pire en enfer
Tout ce temps vous vous êtes dit que c’était pour son bonheur
Même si tout cela devait passer par votre malheur.
Son bonheur, votre malheur c’était le deal de tous les jours
Un deal qui vous faisait peur mais accepté par votre amour
L’amour qui dicte votre façon de vivre c’est le pire
Il y a certaines limites qui sont bonnes à établir.
Il est parti le premier, ça aurait pu être le contraire
Si lui avait encore vécu et vous décidé de vous taire
Attachée vous subiriez tout ce qu’il vous aurait infligé
Mais détachée vous tairiez tout ce qui ce serait passé.
Par amour, votre égo ne vous appartiendrait même plus
Et vous ne lui seriez plus que c’qu’est à la voiture la rue
Comme d’hab il vous roulerait dessus, moralement, physiquement
Et votre amour guérirait tous les bobos de ce traitement.
La première fois qu’il vous a prise, tirée et de coups rouée
Vous étiez choquée mais convaincue que tout cela serait passager
Dans la maison vous êtes restée, à aucun regard exposée
Tandis que lui était parti sans prendre le temps de vous rassurer.
Il est rentré comme si de rien était et vous a dit bonsoir
Alors que vous essayiez de vous confondre dans le noir
Ce qui devait être passager est vite devenu journalier
Car pour calmer ses nerfs quotidiennement sur vous il prenait son pied.
D’autres eurent moins de chances que vous, leurs coups furent plus meurtriers
Conséquences d’un amour fou qui leur doit d’être enterrées
Mais elles au moins n’auront pas tous les jours à regarder
Toutes les marques restées qui appartiennent à leur passé.
Contrairement à elles votre vie n’est pas encore finie
L’enfer qu’était votre vie ressemblera-t-il au paradis ?
C’est la question que vous vous posez après l’avoir pleuré par amour
Un amour qui vous marquera jusqu’à la fin de vos jours.
J’aurais voulu voir de petites larmes coulées sur vos joues rougies
J’aurais voulu sentir vos mains froides déposer qu’une seule bougie
De petites larmes, des mains froides, une seule bougie pour un mari
Qui de son vivant a fait d’un grand enfer votre vie.
Mais vous l’aimiez tellement que vous l’avez laissé faire
Persuadée sûrement que c’était bien pire en enfer
Et tout ce temps vous n’avez pas pensé qu’il vous avait abusée
Et que pour cela il avait usé d’un amour meurtrier.
Maintenant qu’vous le savez, les autres vous avertirez
Car personne ne sait si elles auront la chance de s’en tirer
Si elles verront avant elles leur mari s’en aller
Car amour fou, incontrôlable peut vite devenir meurtrier...
A.C. Faeles
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